چکیده:
La littérature engagée, répandue et théorisée au vingtième siècle en
Europe, touche également les écrivains et les dramaturges iraniens, à
l’instar de Gholam- Hossein Sa'edi. Grâce à une vision réaliste de la
société et en employant une représentation symbolique, il s'engage à
mettre à nu la société iranienne des années soixante et soixante-dix.
Ainsi le théâtre devient son champ favori pour une étude des
pathologies de cette société et pour clamer ce qu’il en augure.
Les Gardiens de Varazil est l'une de ses pièces de théâtre où le
dramaturge se consacre entièrement à dévoiler le mal social de son
époque: la domination exercée sur une grande partie de la société
culturellement et économiquement pauvren, domination qui mène
cette société vers le déclin. L'étude de cette pièce pose cette question
fondamentale: comment et par le biais de quel enjeu, le dramaturge
parvient-il à dévoiler ce mal? Afin de parvenir à cette étude
analytique, nous allons nous baser sur les conceptions sociologiques
de Pierre Bourdieu.
خلاصه ماشینی:
Les Gardiens de Varazil est l'une de ses pièces de théâtre où le dramaturge se consacre entièrement à dévoiler le mal social de son époque: la domination exercée sur une grande partie de la société culturellement et économiquement pauvren, domination qui mène cette société vers le déclin.
Dans le premier acte, les habitants arrivent, se disent bonjour et «s’assoient sous l’auvent»1 (Morad, 1965: 16), puis ils commencent à parler de ce gros problème qui est le leur, et Mashd Ali fait une allusion à cette habitude: Ce qui agace, c’est que nous avons trop tard pensé à résoudre ce problème, …cela fait quatre ans que les sangliers ont pris l’habitude de venir à ce village…mais comme si rien ne s’était passé…, on s’est assis comme ça et on s’est croisé les bras.
En fait, le personnage de Moharam est très intéressant, car, dès le début jusqu’à la fin de la pièce, il ne fait que critiquer les autres au point qu’on peut même dire que le dramaturge se met dans la peau de ce personnage pour critiquer cette société.
En ce qui concerne le rire des autres habitants, il relève soit de leur consentement d’être parvenus parfaitement à nourrir et à rendre service aux chasseurs ou de leur satisfaction du fait que les sangliers n’ont pas attaqué leur propre terrain mais celui de leur voisin.
En fait, ce qui différencie les agents les uns des autres c’est le capital économique car du point de vue culturel, le niveau de compétence et la sagesse de tous est au même niveau.